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Avez-vous entendu de PATH ?
https://www.path.org/where-we-work/
PATH – ça vous dit quelque chose ? Non ? Ce n’est pas très étonnant, car la presse mainstream n’en parle guère. PATH est une ONG, c’est-à-dire une organisation non gouvernementale, qui se définit comme un partenariat publico-privé. Cela signifie une collaboration contractuelle entre les pouvoirs publics et des entreprises du secteur privé. Les membres de PATH sont des fondations privées comme la Fondation Bill & Melinda Gates, Rockefeller, Bloomberg, Open Society Foundations (George Soros), Wellcome Trust, des organisations non gouvernementales, des gouvernements d’une part et des entreprises pharmaceutiques comme Pfizer, Johnson & Johnson, GlaxoSmithKline, Bayer, AstraZeneca d’autre part.
PATH a été fondée en 1977. Avec 1600 collaborateurs et un budget annuel de 300 millions de dollars en 2020, cette ONG n’est donc pas insignifiante. Aujourd’hui, on peut dire que Bill Gates a repris PATH. Grâce à ses dons, il est devenu l’homme le plus influent. Bill Gates investit tout de même 100 millions de dollars par an dans PATH.
Et que fait PATH ? L’organisation elle-même reste très discrète quant à ses activités.
Sur sa page d’accueil, PATH écrit ce qui suit :
« En collaboration avec des partenaires de l’industrie, PATH développe des initiatives qui apportent un bénéfice économique quantifiable. Nous abordons les défis de la santé avec des solutions commerciales qui ne sont pas seulement réalisables, mais aussi profitables, durables et évolutives.
A VOMIR
Oui « à vomir » cette attitude de Macron envers Maduro!! Rappelez vous l’attitude de Macron et de la france sur le pion Juan Guaidó qui fut une honte au niveau international, l’UE et les US contestant l’élection de Maduro au profit d’un Juan Guaidó ! Tout l’or du Vénézuela confisquait par l’Angleterre ainsi que ses avoirs…
Les Vénézuéliens ont le droit de s’exprimer librement et démocratiquement. La France reconnaît @jguaido comme « président en charge » pour mettre en œuvre un processus électoral. Nous soutenons le Groupe de contact, créé avec l’UE, dans cette période de transition.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) February 4, 2019
Article :
BIS REPETITA
https://encyclopedia.ushmm.org/content/fr/film/books-burn-as-goebbels-speaks
Le 19 mai 2022, le ministère ukrainien de la Culture et de la Politique de l’information a ordonné à l’Institut ukrainien du livre de détruire tous les ouvrages édités en Russie, publiés en langue russe ou traduits de la langue russe.
Selon la directrice de l’Institut du livre et ancienne présidente du Forum des éditeurs, Oleksandra Koval (photo), il s’agit de détruire au minimum 100 millions de livres qui véhiculent le Mal. Certains ouvrages seront conservés par des bibliothèques universitaires pour être étudiés par des chercheurs sur l’origine du Mal.
Cet autodafé s’applique à tous les classiques de la littérature russe de Alexandre Pouchkine à Léon Tolstoï en passant par Fiodor Dostoïevski.
Poutine salue la «libération de Marioupol»
En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/97978-forces-russes-controlent-integralite-marioupol-exception-azovstal
Pour ceux qui ne pourront pas accéder au site RT , je fais un copie/coller du texte de référence.
La Défense russe a informé Vladimir Poutine que l’intégralité de la ville de Marioupol était sous contrôle des forces russes et de la RPD. L’usine d’Azovstal, où plus de 2 000 combattants ukrainiens sont retranchés, devrait être assiégée. Ce 21 avril, le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou a informé le président Vladimir Poutine que les forces de la Fédération de Russie, et de la République populaire de Donetsk (reconnue par Moscou) contrôlaient l’intégralité de Marioupol, à l’exception du site industriel d’Azovstal. Plus de 2 000 combattants des dernières formations nationalistes encore présentes dans la ville y sont retranchés, selon les informations communiquées par Sergueï Choïgou, qui a précisé qu’environ 4 000 combattants ukrainiens et mercenaires étrangers avaient été éliminés lors de l’offensive russe et qu’environ 1 500 s’étaient rendus. Poutine suspend l’assaut sur Azovstal Qualifiant de «succès» la «libération de Marioupol», Vladimir Poutine a néanmoins jugé «inopportune» la proposition de son ministre de prendre d’assaut le site d’Azovstal. «J’ordonne de l’annuler», a affirmé le chef d’Etat, réclamant en revanche que la zone continue d’être assiégée afin que personne ne passe. «Fermez cette zone industrielle pour qu’aucune mouche ne passe», a ainsi lancé Vladimir Poutine. Appelant à préserver la vie et la santé des soldats russes, le président a estimé qu’il n’était pas «nécessaire d’entrer dans ces catacombes et de ramper sous terre en-dessous de ces infrastructures industrielles». D’après les autorités ukrainiennes citées par l’AFP, plusieurs centaines de civils se trouveraient dans l’ancienne usine avec le 36e bataillon de l’armée ukrainienne et le bataillon néonazi Azov, les deux dernières unités combattantes à Marioupol. Sviatoslav Palamar, commandant adjoint de ce bataillon intégré à la Garde nationale ukrainienne, avait fait savoir tôt le 21 avril qu’ils étaient prêts «à quitter Marioupol avec l’aide d’un tiers», munis de leurs armes. En marge de la prise de cette ville stratégique, située entre Donetsk et la Crimée, la Russie avait multiplié les appels à déposer les armes. Une position que Vladimir Poutine a réitérée lors de sa réunion avec le ministre de la Défense. «Une fois encore, demandez à ceux qui n’ont pas encore déposé les armes de le faire. La Russie garantit de leur préserver la vie et de les traiter de manière digne, conformément aux actes juridiques internationaux correspondants. Tous ceux qui ont été blessés bénéficieront d’une assistance médicale qualifiée», a précisé Vladimir Poutine. 142 000 civils évacués selon Moscou Selon Sergueï Choïgou, plus de 142 000 civils ont pu être évacués de la ville malgré l’opposition des combattants ukrainiens et l’ensemble des otages ont été libérés. Le 24 février, Vladimir Poutine avait annoncé le début d’une opération militaire visant à «démilitariser» et «dénazifier» l’Ukraine, ainsi qu’à venir en aide aux populations du Donbass, dans l’est de l’Ukraine. Après s’être déployées en de nombreux pans du territoire ukrainien, les forces russes ont récemment annoncé la deuxième phase de cette intervention, à savoir une concentration de l’effort militaire dans l’est du pays, que Moscou souhaite «libérer». Peu avant le lancement de l’offensive russe, Vladimir Poutine avait reconnu l’indépendance des Républiques populaires de Lougansk et Donetsk, qui avaient fait sécession en 2014, refusant de reconnaître les autorités de Kiev issues du coup d’Etat. L’intervention russe est dénoncée comme une guerre d’invasion par le pouvoir ukrainien et ses alliés occidentaux, qui ont multiplié les sanctions contre la Russie. Moscou affirme cibler exclusivement les infrastructures militaires mais est accusée par les Occidentaux de cibler les civils, et même d’être responsable de crimes de guerre. La Russie accuse elle aussi les forces ukrainiennes de crimes de guerre, ainsi que d’utiliser la population comme bouclier humain. Dernier exemple en date, ce 21 avril, au cours de l’inspection de l’hôpital N°4 de la ville de Marioupol, les enquêteurs militaires russes ont affirmé avoir découvert 26 corps sans vie de civils. Selon les autorités de la République populaire de Donetsk, alliée de Moscou, il s’agirait de victimes des bombardements effectués par le bataillon Azov.
Un petit peu d’Histoire
Le nord-ouest de Kiev est protégé par une puissante fortification construite simultanément à la Ligne Maginot Française, à la fin des années 1920 et durant les années 1930, encore fortement renforcée fin juin et début juillet 1941 par le travail ayant mobilisé jusqu’à 200 mille civils habitant Kiev.
La partie nord-ouest n’a pas été concernée par les combats de 1941, les Allemands étant passés au sud, et les troupes soviétiques s’étant repliées de leurs autres positions plus au nord pour éviter l’encerclement.
Les rives de la rivière Irpin ont été fortement dotées en moyens défensifs, pour utiliser l’avantage de la rivière. Celle-ci a aussi servi à inonder la plaine jusqu’à 1 Km de largeur, avec 4 mètres d’eau.
Après le retour de l’armée soviétique en 1943, les Allemands ont fait sauter la plupart des fortifications pour qu’elles ne puissent pas être réutilisées contre eux à l’avenir… Sauf quelques unes… Dans le secteur nord-ouest de Kiev, y compris le long de la rivière Irpin et dans le secteur de Moshchun et Guta-Mezhyhirya… Certaines fortifications sont même en excellent état de conservation, et l’une des casemates sert d’attraction touristique et de décor cinématographique.
Bon, vous avez compris de quoi on parle. L’artillerie Russe est obligée de pilonner les positions que Moscou a elle-même construite il y a 90 ans contre les Allemands. L’Histoire se retourne, l’armée Russe attaque cette position depuis l’ouest, et les bandéristes se trouvent à l’Est !
➡️ C’était l’occasion d’un petit retour historique. Honnêtement, je doute que cela pose un vrai problème aujourd’hui, avec les moyens actuels… Si vraiment c’est infranchissable, ce qui serait étonnant, un Iskander-M ou un petit Kalibr règleront le problème en un instant. Mais ce secteur peut être gênant, d’autant plus que déjà en 1928-1941, la topographie naturelle était jugée particulièrement favorable à la défense.
Certaines des reconstructions historiques simulées par ordinateur font intervenir dans ce genre de topographie, cela permet de se rendre compte que sans moyens « importants », il est difficile de saisir ce genre de lieux. Et les pertes sont plus élevées que sur terrain dégagé.
- Un missile balistique Toshka-U kiévien a atteint le centre de Makeevka, banlieue nord-est de Donetsk. Il y a des victimes.
- Article intéressant (https://t.me/actualiteFR/16529) sur le nord-ouest de Kiev, avec un retour historique qui explique une partie des difficultés actuelles.
- @pezdicide poursuit l’enquête sur l’individu ayant appelé dans Medscape à cesser de fournir des produits pharmaceutiques aux Russes :
« Le bioéthicien [vous trouverez le nom en suivant le lien de l’article], qui a appelé l’industrie pharmaceutique mondiale à arrêter l’approvisionnement de la Russie en médicaments vitaux, s’est avéré être une personne intéressante.
📌 En 1989, il a organisé une conférence pour discuter des implications de l’Holocauste pour la bioéthique. Il a notamment abordé la question de la pratique de la médecine en Allemagne (il faisait référence aux expériences médicales dans les camps de concentration) : « était-elle conforme aux normes « normales » ? »
Il a notamment souligné que « la médecine moderne dans ce contexte n’est pas non plus très humaine : recherches sur les cellules souches, essais cliniques dans les pays pauvres, avortements, recherches sur les embryons, expérimentations animales, etc. »
En fait, il estimait que « s’il existe au moins un argument raisonnable en faveur d’une décision à prendre, celle-ci est automatiquement considérée comme éthique ».
📌 À une certaine époque, il a été actif dans le domaine de la transplantation d’organes et de la génétique et il a travaillé sur les dilemmes de « l’éthique quotidienne » liés au traitement des personnes âgées.
Dans ce contexte, il a discuté avec ses collègues des questions suivantes : - Réflexions pour savoir si les nourrissons atteints d’anencéphalie pouvaient être utilisés comme donneurs d’organes ;
- Réflexions sur la vente d’organes de personnes vivantes et décédées ;
- Réflexions sur les stratégies possibles pour augmenter le nombre d’organes disponibles, y compris les solutions basées « sur le marché » et la notion de consentement présumé ;
- Et les questions liées au tourisme de transplantation.
Soit dit en passant, quelques jours après la publication de son appel pour cesser d’exporter des produits pharmaceutiques en Russie, l’une des plus grandes sociétés pharmaceutiques au monde, [vous aurez le nom dans l’article, c’est l’entreprise pharmaceutique internationale n° 1 dont le monde entier connaît le nom depuis 2 ans… et qui a indirectement enrichi un certain dirigeant dont je n’écris jamais le nom], a annoncé la fin de ses investissements en Russie. »

UKRAINE
Les commentaires sur les différents journaux consultés chaque matins, me font très souvent dresser les cheveux sur la tête. Intoxiqués par BFMTV, C NEW, et consœurs, et que dire de « La Sept » et son BHL, le lavage de cerveau heures après heure ne cesse de fonctionner… Les gens acceptent leurs récits comme ils ont accepté celui du Covid. Très peu réfléchissent et cherchent un autre moyen d’information.
Voilà ce que vous ne verrez jamais ni n’entendrez sur nos chaînes d’infos :
Nous attendions les nôtres – les Russes…
« Nous pensions que nous ne pourrions jamais sortir de là. Nous comptions les jours. Ils nous ont dit – un jour de plus, deux jours de plus. Et puis une semaine, la deuxième semaine, la deuxième semaine était déjà terminée. Je n’arrive toujours pas à me faire à l’idée que nous sommes libres. Avec de la fièvre, tous malades, sans médicaments. Quand nos gars sont entrés, on a pleuré. Quand un homme est entré, a dit bonsoir – nous avons compris que c’était les Russes qui étaient arrivés. »
https://t.me/donbassinsider/5215
Donbass – Les soldats de la RPD et de l’armée russe évacuent les civils de Marioupol, et Volnovakha est libérée – Donbass Insider
Les civils de Marioupol, n’étant pas avertis qu’il y a des couloirs humanitaires sont évacués par les soldats russes et ceux de la RPD.

Traduction d’un document clairement écrit par un militaire professionnel
C’est dur pour tout le monde. Nos hommes meurent. Des citoyens ukrainiens meurent. Mais le plus dur est pour les militaires, de carrière et réservistes, russes et ukrainiens, qui traversent ce conflit « chaud ». Je grince des dents par impuissance, je ne suis pas personnellement sûr d’avoir pu exécuter l’ordre du commandant en chef si j’avais été dans les rangs aujourd’hui. Réduire au minimum les pertes civiles est compréhensible, nous sommes un seul peuple. Et comment essayer de ne pas causer de dommages critiques aux FAU (Forces Armées Ukrainiennes) ; j’en ai peu idée dans le cadre des tactiques de ma propre unité.
Je m’oppose catégoriquement à la publication du nombre de pertes au combat jusqu’à ce que l’opération soit entrée dans sa phase finale. C’est un cadeau pour la guerre de l’information de l’autre, un atout dans les mains de l’ennemi, la dispersion de fausses informations parmi les alarmistes purs et durs à l’intérieur du pays : « ils mentent tous, se cachent, sous-estiment », « pas de guerre », « mères, ne laissez pas vos fils… », « comme je veux la paix », « combien de sang doit encore être versé »…
Vous pouvez et devez. Les soldats et les héros meurent. Qui sont venus à l’armée non pas pour polir des pavés avec leurs semelles de chaussures, mais pour défendre la Patrie. Même au prix de sa propre vie. C’est une erreur de l’État-major, le peuple doit comprendre clairement les objectifs de l’opération, sa nécessité, l’inévitabilité des victimes. Ce n’est pas le cas actuellement.
Cela semble cruel, mais telle est la dure réalité militaire. Nous essuierons nos propres larmes et celles des femmes après la Victoire, nous nous inclinerons devant chaque veuve, mère, épouse, sœur pour l’exploit de leurs hommes.
La première étape de l’opération…
Nous avons sous-estimé le pouvoir de résistance informationnelle, idéologique et psychologique de l’ennemi, qui nous attendait. Littéralement dès le premier jour, d’un simple clic des doigts sanglants des Américains, ils nous ont privés du soutien de la population civile et des unités des FAU prêtes à devenir neutres. Des millions de dollars, des milliers d’informaticiens, des sociétés médiatiques mondiales ont coupé l’Ukraine de toute information objective, ça puait dans notre pays.
Et nos principales pertes ont eu lieu au cours des trois premiers jours. Maintenant, elles vont être rapidement réduites. Les opérations de maintien de la paix et les opérations humanitaires, comme celle de Crimée, ne sont plus menées par l’armée russe. Les combattants ont reçu d’autres ordres, se sont impliqués, se sont mis en colère, se sont regroupés, tout espoir de soutien actif de la part de la population civile et des parties des FAU qui auraient changé d’avis a été dissipé.
Il y avait peu de fleurs et de miches de pain à voir, le peuple a été écrasé par la propagande et les mensonges, intimidé jusqu’à la folie par les nazis. Un autre point important a été oublié dans les calculs – près de 600 000 Ukrainiens sont passés par la zone ATO dans le Donbass depuis 2014, aujourd’hui ils ont reconstitué la défense territoriale partout, beaucoup ont quelque chose à craindre. Surtout à la suite des infos sur les exécutions sans procès par l’ATO.
Pouvez-vous imaginer ce que, pendant une année de service là-bas, les nazis leur ont fourré dans la tête, leur ont donné la possibilité de tirer sur les colonies de « vestes matelassées et colorées » en toute impunité, de se moquer de la population civile là-bas. Donc, le calcul pour l’aide des locaux et des FAU était inexact, le cancer dans la société ukrainienne est tout simplement monstrueux. Mais… nous allons le guérir.
Si nous expliquons notre tactique des premiers jours… c’est une « reconnaissance par le combat » de la Grande Guerre Patriotique retravaillée de manière créative. Seulement avec une pénétration profonde et rapide dans le territoire occupé par les nazis. Nous avons provoqué l’activité de l’ennemi avec des groupes tactiques, en tirant délibérément des parties des FAU et de la Garde nationale de leurs emplacements. Avec un petit nombre, nous avons résisté aux terribles contre-attaques des chars et des véhicules blindés, d’une infanterie motorisée supérieure en nombre.
Il était parfois impossible de supprimer les « Grads », l’artillerie et les mortiers cachés dans les quartiers résidentiels qui vous clouaient au sol. Les zones urbaines ne pouvaient pas être nettoyées méthodiquement en formations de combat, ce qui nécessitait des tirs de soutien, des hélicoptères d’attaque, des sapeurs, des lance-flammes, des chars d’assaut pour transporter des mitrailleuses dans les maisons et les infrastructures sociales.
C’est une guerre qui n’est pas familière aux vétérans que nous sommes. Surtout lorsque le ciel est sous votre contrôle total, que les aérodromes sont remplis d’avions d’attaque et de bombardiers, que des systèmes de missiles opérationnels et tactiques sont en service, qu’il y a beaucoup d’artillerie lourde. Maintenant, c’est devenu clair, même pour les civils : le nom correct de ce qui se passe réellement est « une opération militaire spéciale de dénazification. » Et la démilitarisation de Nezalezhnaya était terminée à la fin du troisième jour.
Les FAU, en tant que structure unique, gérable et efficace, ont cessé d’exister. Aujourd’hui, il y a des dizaines de groupes de tailles différentes, isolés les uns des autres, se cachant dans les villes et les villages. Pas d’approvisionnement centralisé, pas de soutien aérien, pas d’approche de renforts. Ils ne sont pas en mesure d’agir dans le cadre d’un quelconque plan de l’état-major ukrainien. Juste des foules d’hommes armés avec l’ordre de se battre jusqu’à la mort.
Les principaux groupes « Nord » et « Est » ont été décapités et privés de commandement ; il s’agit de 22 brigades, qui s’étaient vu confier l’honorable tâche de noyer le Donbass dans le sang au début du mois de mars. Nous les avons devancés d’une semaine ou deux, en lançant notre propre opération spéciale. Aujourd’hui, 150 000 personnes (ainsi que des soldats nationaux) marinent dans des « chaudrons », coupés les uns des autres. Cela a été fait par des forces russes plus petites… et en cinq jours.
Il n’y a pas de résistance organisée dans les autres zones opérationnelles. Seulement des parties isolées des Forces Armées Ukrainiennes, des bataillons nationaux, des groupes de sabotage. Chacun agit à sa discrétion, avec des degrés d’activité variables. Il est impossible de se déplacer en colonnes, de se regrouper, de se réapprovisionner en munitions, en carburant, en équipement, même dans les entrepôts locaux, tout a été systématiquement détruit par des armes et des avions de haute précision.
En une semaine ou deux, 80% des FAU se transformeront en détachements complètement dépourvus de munitions, de carburant, de médicaments et de nourriture. Mentalement et physiquement épuisés, sans commandement unifié, sans buts ni objectifs. Pour l’armée, c’est une chose terrible ; le découragement et la décadence. Surtout pour l’Ukrainien, qui est tenu par la peur, instillée par des détachements de Bandera. Les militaires craignent pour le sort de leurs familles à l’arrière.
La deuxième étape de l’opération…
On reconnaît le scénario syrien. Une population neutre ou craignant le terrorisme, parmi laquelle il est presque impossible d’identifier des militants. L’armée russe ne prend pas de tels zones ; elle entoure plutôt les villes ayant des bataillons nationaux Bandera. Bientôt, nous observerons des bus et des « tournées d’évacuation » en direction de la région occidentale. Dès qu’ils seront « mûrs », sans aucun soutien ni aide de l’extérieur.
Dans d’autres endroits, les villes sont mises en semi-encerclement, invitant ainsi les défenseurs à quitter le territoire par leurs propres moyens. Pas de colonnes militaires organisées, d’équipements lourds, tous ces biens sont détruits. Individuellement, c’est cher. Oui, il y a un danger d’apparition d’un grand nombre de groupes de sabotage, cependant, stratégiquement trois tâches principales de l’opération spéciale sont en train d’être résolues : minimiser les pertes parmi la population civile et l’infrastructure, nos unités et l’armée ukrainienne.
Le fait que les militaires russes et ukrainiens se déchirent mutuellement avec ravissement est un cadeau bien trop luxueux pour Washington et l’Euro-Reich. Les « détachements de partisans » de Bandera vont vous taper sur les nerfs, mais l’idée du commandement n’est pas mauvaise. Ils deviendront des proies légitimes pour les détachements antiterroristes, la police militaire et les hommes de la Garde nationale de Ramzan Kadyrov. Qui ne font pas de prisonniers parmi les terroristes, ils les éliminent… où qu’ils les trouvent. Une dénazification au sens littéral du terme.
Un sort encore plus triste attend les nombreux mercenaires arrivant de l’EuroReich, dont ils forment non pas des unités militaires (pas le temps), mais des groupes de sabotage et de mouvements tactiques. Notre état-major a déjà déclaré qu’il ne les considèreront pas comme des combattants, avec toutes les conséquences qui en découlent, aucune convention sur les prisonniers de guerre ne s’applique ici. Je suis sûr qu’une chasse spéciale, cruelle et ciblée sera menée pour ces « soldats de fortune ». Pauvres diables…
La troisième étape de l’opération.
Je ne vous dirai pas en détail comment et où se déroulent les combats, il y a suffisamment d’informations provenant d’experts professionnels dans le domaine public. Mais tout se passe strictement selon les plans, nous n’avons même pas commencé à transférer les réserves. Elles se tiennent toujours en colonnes dans les zones frontalières. Les pertes ne sont pas seulement tolérables (d’un point de vue statistique militaire), elles sont insignifiantes. Pas une seule unité n’a été allouée à la reformation ou au repos, ce qui signifie qu’elle est totalement prête au combat.
Regardez la carte, estimez les distances, les marches, les affrontements constants, les regroupements, les manœuvres sur des dizaines de kilomètres, et rappelez-vous : nos gars sont opposés à la troisième plus grande armée d’Europe et à des formations nazies extrêmement motivées. Nous devons resserrer l’arrière, faire un repos élémentaire, entretenir le matériel, effectuer un tas d’actions imprévues.
Il n’est pas nécessaire de faire pression sur qui que ce soit, d’exiger des actions plus décisives ; des drapeaux de la victoire sur Mariupol, Sumy, Chernihiv, Kharkov, Odessa, et plus encore, l’inutile Kiev avec ses trois millions de citoyens paniqués et gonflés de propagande. Les objectifs de l’opération sont la stratégie et la tactique – dans cette toute nouvelle page de l’art de la guerre, la précipitation est inacceptable.
Mon camarade de classe à l’Académie m’a demandé hier dans un message :
- Pourquoi l’aide militaire à l’Ukraine n’est-elle pas détruite dès son arrivée sur le tarmac ?
- Pourquoi est-il même possible pour les transporteurs de l’OTAN de visiter l’espace aérien de l’Ukraine ?
- Avez-vous l’impression que nos diplomates commencent à épuiser les efforts de l’armée ? … Toutes sortes de mauvaises pensées se promènent dans ma tête.
Selon le point numéro trois. Il n’y aura pas de relâche, tous les objectifs de l’opération spéciale seront atteints. C’est ce que répète catégoriquement chaque jour Lavrov, et ce que Poutine a annoncé hier. Le « pacificateur » français, Macron, est tout lessivé de sa médiation. Et Medinsky, dans Belovezhskaya Pushcha, se moque subtilement des métrosexuels de la délégation ukrainienne. Il n’y a personne à qui parler.
Regardez le courageux commandant en chef, Ze, comme il a l’air. Désintégration complète de sa personnalité sous l’influence de la drogue. Les Américains ne lui permettront pas de négocier et ses propres nazis le tueront. Leur tâche est différente ; détruire complètement le pays, le noyer dans le chaos, afin qu’il ne reste plus rien pour personne.
L’opération spéciale ne s’arrête pas, il n’y aura plus de retard. Chaque jour de retard nous nuit catégoriquement, des problèmes diplomatiques, politiques, économiques et militaires imprévus apparaissent. Seulement la vitesse et l’assaut, jusqu’à ce qu’à l’Ouest, on commence à évaluer la situation avec la tête froide.
A propos des transporteurs volants avec les symboles de l’OTAN livrant des armes. C’est impossible, le ciel au-dessus de la Nezalezhnaya et du sud de la Russie est fermé aux vols. Ils feront des livraisons terrestres depuis la Pologne. Et nous ne détruirons pas de tels convois d’« aide humanitaire ». Pourquoi, demandez-vous ? Mieux vaut poser une autre question : qui est exactement au pouvoir en Ukraine ?
Des nazis purs et simples. Ils ont pris des millions de civils en otage dans des villes sans couloirs humanitaires, ont poussé des gens terrifiés dans des caves et des stations de métro. Ils empoisonnent les gens avec des mensonges sur les « atrocités russes », les fusillades de masse, les exécutions, la violence, les bombardements en tapis. Ils placent des civils armés de mitrailleuses près des installations stratégiques de commandement et de contrôle. Comme à Kiev, dans le bâtiment du SBU, tout près de la cathédrale Sainte-Sophie.
Les conservateurs de Zelensky et les bataillons de Bandera mettent en scène une catastrophe humanitaire, quittent les villes et villages du Donbass et font tout sauter : ponts, sous-stations, stations de pompage. Souvenez-vous de la libération de l’Ukraine et de 1945, l’agonie du Troisième Reich. La citation du démoniaque, émise dans les ordres sur la destruction de toute l’infrastructure de l’Allemagne : « Si la guerre est perdue, il importe peu que le peuple meure. »
Il est utile de connaître l’histoire afin de prédire le comportement des nazis. Telle est l’idéologie, les normes sociales de vie, la vision du monde.
Ainsi, les colonnes militaires ne seront pas détruites pour trois raisons. Premièrement, il s’agit de trophées. Deuxièmement, les armes ne parviendront pas aux unités des forces armées ukrainiennes prêtes au combat et aux bataillons nationaux du Sud-Est ; les destinataires sont coincés dans des « chaudrons ». Troisièmement, tout sera transporté par des camions civils ordinaires, l’arrière-garde des unités des FAU est en pièce, détruit par des frappes.
Calculer et frapper les camions de conteneurs ? Oui, vous pouvez le faire. Il suffit de garder à l’esprit que toutes les routes menant aux postes de contrôle frontaliers avec « l’Europe bienveillante » sont encombrées de colonnes de voitures d’Ukrainiens en fuite sur des centaines de kilomètres. Le trafic y est terrible. Il y a des femmes et des enfants dans les voitures. Et la Pologne et la Hongrie n’ont pas déplacé les points d’inspection dans les profondeurs de leurs territoires, n’ont pas augmenté la capacité des points de contrôle avec du personnel supplémentaire.
Autrement dit, les gardes-frontières ukrainiens et leurs « collègues » font attendre les gens pendant des jours pour franchir la frontière. Commencez-vous à comprendre le scénario sur lequel Kiev et Washington comptent ? Ou pouvez-vous imaginer par vous-même le genre d’image télévisée que le « monde civilisé » tout entier attend ? Ils rêvent que des Russes assoiffés de sang se mettent à bombarder des voitures civiles… ou le chemin de fer.
Mais il est difficile de croire à de tels scénarios. C’est clair pour tout le monde, l’Ukraine est complètement perdue, aucune quantité d’armes ne l’aidera plus. Mais certaines pièces seront certainement livrées à Lvov, des mercenaires et des Banderistes idéologiques les recevront. Puis, en groupes, ils commettront des actes de sabotage, intimideront les administrations locales dans tout le pays, tenteront de perturber nos communications et nos lignes d’approvisionnement.
Mais ceci est une autre opération spéciale, une opération de police. Une opération que les Ukrainiens eux-mêmes sont capables de mener à bien avec un minimum d’aide russe, une fois qu’ils auront surmonté le choc. C’est leur terre, ils vivent ici. Annoncez une récompense de cinq mille dollars pour une dénonciation anonyme ; en un jour, ce sera la fin de tous les saboteurs et partisans. Voilà le genre de pays que c’est.
Mais nous le ferons plus tôt…
Je veux vous rassurer, pour le douzième jour nos gars opèrent dans une réalité opérationnelle et tactique différente, les pertes vont rapidement diminuer. Si auparavant il y avait un ordre strict de ne pas causer de dommages même hypothétiques aux civils, aux objets civils… aujourd’hui il a été modifié. En une phrase : « pas au détriment du personnel des unités ». En tant que militaire, je suis entièrement satisfait : maintenant les sensibilités humanitaires sont passées, le vrai travail va continuer.
Tirer sur une colonne, en réponse suivra tout le menu militaro-technique. De tels ordres ne fonctionnent que de cette façon. La population civile souffrira-t-elle ? Oui, certaines pertes sont inévitables, mais pas par notre faute. Nous ne prenons pas les villes d’assaut, selon les ordres, mais nous contournons ou agissons chirurgicalement avec des forces spéciales, comme à Kharkov. Avec l’utilisation de tactiques de combat urbain, jusqu’alors totalement inconnues, par des groupes de manœuvre de nuit. Parlons-en une autre fois.
Laissons les Ukrainiens se regrouper dans les villes, en digérant les Banderistes qui s’y sont installés et les « bataillons territoriaux » bernés par la propagande nazie. Qu’ils ne peuvent plus faire face aux pillards qui s’y trouvent, sans parler du « retour d’agression ». Ce n’est pas notre problème maintenant, aussi cruelles que puissent paraître ces paroles.
Le tournant final viendra après le nettoyage de Kharkov, le blocage ou la prise d’Odessa. Toutes les forces d’autodéfense héroïques des autres colonies se dissoudront d’elles-mêmes, les signes évidents d’une catastrophe humanitaire sont déjà visibles dans les villes encerclées. Le brouillard, lorsqu’il est complètement faux, se dissipe plus rapidement dans l’obscurité, la fraîcheur vivifiante et l’estomac vide.
La population n’est pas moralement prête à tenir jusqu’au bout. Les réseaux sociaux ukrainiens sont déjà remplis de messages provenant de lieux où les administrations locales sont restées après l’arrivée de l’armée russe, la nourriture est livrée sans problème, l’éclairage public est allumé, la police locale contrôle les rues. Avec chaque nouveau jour, la fausse hystérie va se calmer, la pensée va revenir dans les têtes hallucinées : et après ?
Les Banderistes encerclés vont-ils commencer à commettre des atrocités dans leur colère impuissante ? Eh bien, les Ukrainiens doivent aussi porter cette croix par eux-mêmes. Bien sûr, nous essaierons de tout faire pour sauver les enfants et les personnes âgées. Mais Poutine ne permettra pas de supporter des pertes importantes, pas pour cette guerre.
Ce n’est pas nous qui avons soulevé le démon de l’enfer, qui l’avons nourri, qui lui avons permis de s’emparer du pouvoir et des otages en la personne d’une nation entière. Ce n’est pas nous qui les avons armés et envoyés pilonner le Donbass, qui leur avons appris à haïr les Russes. L’indifférence et la complicité criminelles sont également un acte punissable. Pas par nous, par la vie elle-même.
Je suis d’accord pour dire qu’en certains points, c’est très cynique, mais c’est seulement du point de vue d’un civil. Pour une action militaire, c’est une autre réalité…
https://fr.sott.net/article/39558-L-avis-d-un-professionnel-sur-l-operation-speciale-en-Ukraine
Que représente le passeport sanitaire ?
Ce qui fait peur aussi dans la politique « sanitaire » prioritaire pour l’instant, c’est l’écart entre la réalité de la gestion globale de la santé et la réduction à la prévention contre un élément. A un autre niveau d’interpellation, pourquoi l’opinion unique parvient-elle à persuader autant de gens – pourtant si instruits dans tant de domaines – du pouvoir du vaccin sans prendre en compte des éléments mis en avant par la médecine de terrain?
Dans le monde scientifique, on retrouve la même scission que dans la population divisée entre pro-vax et anti-vax. Ainsi, La fraude méthodologique continue et s’aggrave. Les nouvelles politiques permettront de dégonfler artificiellement les « infections de rupture » chez les vaccinés, tandis que les anciennes règles continueront de gonfler le nombre de cas chez les non vaccinés… Nous étions depuis des paquets d’années les otages de ces individus par la création monétaire contre dettes. Le problème est que depuis, ils ont fait des progrès en mettant la main sur notre santé.
Le courant de l’opinion unique focalise sur un sujet à un premier niveau : le vaccin, qu’il soutient de force par un pass vaccinal. Toutefois, le corps humain est un organisme vivant dont l’équilibre dépend d’un nombre incalculable de mécanismes biochimiques et biophysiques. Dès lors, l’abstraction faite de tout ce qui se déroule dans le corps à l’injection de plusieurs ingrédients a de quoi susciter une alerte. La preuve apparaît quand on constate les multiples effets secondaires, à court terme mais aussi ceux qui sont à venir dans le moyen et le long terme.
Une sagesse nous vient de Russie. Face au constat que « Chez nous, on n’écoute ni les médecins ni les scientifiques. Désormais, tout est régi par les politiciens et les entreprises. Comme c’est le cas en France et dans le monde entier. », elle nous rappelle que :
« Nul ne peut se faire dévacciner»
Article :
Que représente le passeport sanitaire?
La Servitude
Ce matin, comme tous les matins, je consulte divers journaux afin de me tenir au courant de l’actualité. Moi qui suis un anar pur et dur, je suis tombé (sans me faire trop mal je vous rassure…) sur un article qui fit battre mon cœur un peu plus vite.
Mon optimisme est basé sur la certitude que cette civilisation va s’effondrer.
Mon pessimisme sur tout ce qu’elle fait pour nous entraîner dans sa chute.
Quelle époque terrible que celle où des idiots dirigent des aveugles.
Seule la vérité est révolutionnaire.
« L’urbanisme est cette prise de possession de l’environnement naturel et humain par le capitalisme qui, se développant logiquement en domination absolue, peut et doit maintenant refaire la totalité de l’espace comme son propre décor ».
À mesure qu’ils construisent leur monde par la force de leur travail aliéné, le décor de ce monde devient la prison dans laquelle il leur faudra vivre. Un monde sordide, sans saveur ni odeur, qui porte en lui la misère du mode de production dominant.
Les intérêts français au Tchad : Areva, Bolloré, Bouygues…
Le Tchad représente avant tout une base militaire à cause de ses frontières avec le Centrafrique, le Soudan, la libye, le Niger, le Nigeria et le Cameroun.
Ses matières premières sont appréciées de nos hommes d’affaires : pétrole, gaz, or, argent, platine, diamant. La Banque mondiale s’est retirée du projet pétrolier ; Exxon a remplacé Elf. En revanche Bouygues et Bolloré participent aux travaux. C’est la curée. Areva y participe. Le baril tchadien est cédé 32 dollars à ExxonMobil, alors que le cours normal frôle les 70 dollars. Les Zaghawas, dont fait partie Déby sont 2% de la population, mais font régner la terreur sur tout le pays. C’est ce que les Occidentaux apprécient : une dictature stable sur un pays, divisé entre ethnies et partis, et même sur toute une région, le Sahel, en plein chaos à cause d’une chasse à l’invisible terroriste Boko Haram. Il est facile d’exploiter le pétrole dans une zone de non-droit perpétuellement en guerre.
Article :
Macaron roi de France et du Tchad